Un homme se rend chez son psychiatre pour lui parler d'un problème qui l'empêche de dormir depuis des mois :
- Docteur, j' ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j' ai l' impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors je me relève pour regarder sous le lit, et bien sûr il n' y a personne. Je me recouche, mais au bout d' un moment je me dis que je n' ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j' ai beau me dire que c'est impossible, je ressens toujours le besoin de m' assurer que personne n' est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
Le psychiatre :
- Hum... Je vois... obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans d'entretiens de physiothérapeute, à raison de trois séances par semaine et je vous guéris de votre obsession.
Le patient :
- Euh.. Combien ça va me coûter, Docteur ?
Le psychiatre :
- 100 euros par séance.
Le patient après avoir fait un rapide calcul dans sa tête :
- Euh... je crois que je vais réfléchir un petit peu avant de commencer la thérapie.
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
- Alors ? Pourquoi n' êtes-vous jamais revenu me voir ?
Le patient :
- A 100 euros la séance ? Mon livreur de pizza m' a résolu mon problème pour seulement 5 euros.
Le psychiatre qui n'est pas convaincu qu'un livreur de pizza soit plus efficace que lui demande :
- Votre livreur de pizza ? Vraiment ? Et comment a t-il fait ?
Le patient :
- Il m' a conseillé de scier les pieds de mon lit !!
Deux adolescents se font prendre par la gendarmerie pour avoir fumé de l'herbe. Au moment de leur passage au tribunal, le juge, magnanime, leur dit :
- J'aimerais vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Avant la fin de cette semaine, vous devez rencontrer et convaincre le plus grand nombre de personnes intoxiquées. Je vous reverrai ici-même mardi pour faire le bilan.
Mardi arrive et nos deux p'tits mecs sont de retour devant le juge :
- Alors, quels résultats avez-vous obtenu ?
Le premier garçon se lève et annonce fièrement :
- Votre honneur, j'ai réussi à convaincre 19 personnes d'arrêter totalement la drogue.
- Dix-neuf personnes ? C'est très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
- Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J'ai dessiné deux cercles : un grand et un petit. Puis je leur ai dit : Ceci (le grand cercle) c'est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c'est votre cerveau après la drogue.
- Excellente démonstration ! Et vous (au deuxième garçon), votre bilan ?
- Votre honneur, j'ai persuadé 158 personnes d'abandonner la drogue à tout jamais.
- Cent cinquante-huit personnes ! C'est exceptionnel ! Par quel moyen avez-vous pu arriver à un tel réultat ?
- Eh bien j'ai utilisé la même approche en plus simple. Je leur ai dit (pointant le petit cercle): ça, c'est votre tr0u du cuI avant la prison...
Deux fous décident de dormir dans la rue. Au moment de se coucher ils cherchent le meilleur endroit pour passer la nuit en toute sécurité. Le premier propose alors :
- Tiens, on devrait se mettre contre cet arbre là.
- Crois-moi, on sera bien plus à l’abri au milieu de la route !
Ils s’installent donc au milieu de la route. Une voiture arrive à toute vitesse et, pour éviter les deux fous, le conducteur donne un violent coup de volant et va s’encastrer dans l’arbre.
- Alors tu vois que j’avais raison. On serait mort maintenant !
La société est ainsi faite :
Un homme radin comme pas deux va consulter un psychanalyste célèbre. On lui a dit que la première fois on payait deux cents euros, et les fois suivantes seulement la moitié.
Aussi, lorsqu’il entre dans le cabinet, il prend un ton enjoué :
- Bonjour, docteur, c’est encore moi !
Le psychanalyste l’écoute, l’interroge, prend des notes. A la fin de la séance il prend les cent euros, puis, en souriant, lui dit :
- Rien de nouveau, suivez mes conseils de la dernière fois.
Sylvain est dans son train pour rentrer chez lui. Il est très stressé de devoir annoncer à sa femme qu'il l'a trompée. Car oui , Sylvain soigne des personnes. Et aujourd'hui, il a couché avec une de ses patientes.
Alors une voix dans sa tête lui disait :
- T'en fais pas Sylvain, t'es pas le premier et tu seras pas le dernier à coucher avec ses patientes.
Mais une autre voix le ramenait à la réalité :
- Sylvain... Tu es vétérinaire...