Sur le point de mourir, un vieux Corse choisit de léguer sa fortune au plus fainéant de ses trois fils qu’il décide de tester. Il demande à l’aîné de monter :
- Mon fils, que fais-tu si, à la terrasse d’un bar, alors qu’il fait très chaud, tu aperçois un billet de 200 euros de l’autre côté de la route ?
- Ouh… j’attends qu’il fasse moins chaud pour aller le ramasser !
Le vieil homme appelle son deuxième fils :
- Que fais-tu si une jolie fille te fait de l’œil pendant que tu fais la sieste ?
- Ouh… Je termine la sieste d’abord !
Le vieillard appelle alors le benjamin :
- Oh, Doume ! Monte me voir !
- Non… Toi, descends !
Un Italien coureur de jupons, un Écossais très avare et un Grec homosexuel se retrouvent face à St Pierre. Les trois hommes supplient Saint-Pierre pour qu'il leur laisse une seconde chance. St Pierre finit par accepter et les renvoie sur terre mais à une condition : ne plus jamais céder à leur vice. Sinon, retour au ciel !
Les trois hommes se retrouvent à marcher sur le trottoir d'une grande avenue. Une jolie fille passe et l'Italien se retourne pour regarder son postérieur. Aussitôt, POF! il disparait et se retrouve de nouveau devant le St Pierre.
Écossais et le Grec poursuivent leur chemin jusqu'à ce que leur route croise une pièce de 50 centimes sur le trottoir. Alors l’Écossais se baisse, et POF! le Grec disparaît.
Dans un cimetière, un européen dépose des fleurs sur la tombe de ses parents. Sur la tombe d'à côté, un asiatique est en train de répandre du riz sur la pierre tombale de ses parents. L'européen lui demande :
- Et vous pensez qu'un jour ils pourront manger votre riz ?
L'asiatique lui rétorque :
- Bien sûr ! Le même jour qu'ils pourront sentir vos fleurs !
Deux jeunes hommes, un français et un chinois conversent.
Le français dit à son homologue chinois :
- Pour faire la fête, c’est toujours mieux d’être en groupe qu’en pensez-vous ? Connaissez-vous le dicton français : « Plus on est de fous, plus on rit. »
Le chinois, un peu surpris par les propos du français répond :
- Tiens c’est étrange… À l’inverse en Chine on dit justement : « Plus on est de fous, moins on a de riz. »
Donald Mac Arthur, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires. Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.
Un homme va dans un bar et rencontre une femme japonaise. Ils passent la nuit ensemble et toute la nuit il l'entend crier : "Sushugu, Sushugu !" Il se dit qu'elle doit le trouver formidable, l'homme continue son affaire en y mettant toujours plus de cœur.
Quelques jours plus tard, il participe à un tournoi de golf et ils se trouve à jouer avec le président de Nintendo qui tire un coup fantastique et met la balle dans le trou. Voulant le flatter il lui crie " Sushugu !". Furieux le président de Nintendo lui dit :
- Quoi, mauvais trou ???