Blague : Test d'entrée en psychatrie


Un journaliste visite un hôpital psychiatrique et interviewe le directeur :
- Comment pouvez-vous dire si une personne a besoin d’être internée ?
- Nous remplissons une baignoire avec de l’eau et nous leur offrons une petite cuillère, un bol et 1 seau, en leur demandant de vider la baignoire.
- Je vois… Une personne normale aurait choisi le seau parce qu’il est plus gros, c’est ça ?
- Non. Une personne normale retirerait le bouchon de la baignoire… Vous voulez une chambre avec ou sans fenêtre ?

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C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.

Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !

Partie 3 des réflexions :

Soyez gentils avec vos enfants. Ayez toujours à l'esprit que ce sont eux qui choisiront votre maison de retraite.

Le mec qui a convaincu les aveugles de porter des lunettes de soleil est quand même un excellent commercial.

A l'école, ils nous apprennent le passé simple, ils feraient mieux de nous faire apprendre le futur compliqué.

Quand un homme dit des obscénités à une femme, c'est un pervers. Quand une femme dit des obscénités à un homme, c'est 3,95€ la minute.

J'ai postulé pour travailler dans un pressing et ils m'ont dit de repasser demain. Je ne sais pas comment le prendre.

Two beer or not two beer, that is the pression.

Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.

Il est impossible de faire 10 000 pompes par jour. Sauf si vous êtes un enfant chinois dans une usine Nike.

Une lesbienne qui n'a pas de seins, c'est une omoplate ?


- Tu veux aller danser ?
- Oui !
- Nickel, je peux prendre ta chaise alors ?

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Dans un château en ruines, un guide dirige un groupe.
Une dame du groupe dit :
- J’ai peur, il paraît qu’il y a des fantômes ici.
Le guide assure:
- Oh non, cela fait 650 ans que j’habite ici et je n’en ai jamais rencontré.

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Le jour de leur anniversaire de mariage, un couple discute devant un plat de lentilles :
- En 30 ans de mariage tu ne m'as jamais rien acheté !
- Ah ! Mais je ne savais pas que tu avais des choses à vendre.

Les 12 règles d’or du Club des Fainéants :

1. Sois infatigable au repos.

2. Si tu vois quelqu’un qui cherche à se reposer, aide-le.

3. Rappelle-toi que le travail est sacré, n’y touche pas.

4. Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.

5. Ce que tu peux éviter de faire, fais le faire par un autre.

6. Si l’envie de travailler te prend, assis toi et attend que ça passe.

7. Ne te fatigue même pas à tuer le temps, puisqu’il travaille pour toi.

8. Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.

9. Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.

10. Ne reste pas debout lorsque tu peux t’asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t’allonger.

11. Si tu es victime d’une farce, surtout ne marche pas, reste assis.

12. N’écoute pas des histoires à dormir debout.

Un homme radin comme pas deux va consulter un psychanalyste célèbre. On lui a dit que la première fois on payait deux cents euros, et les fois suivantes seulement la moitié.

Aussi, lorsqu’il entre dans le cabinet, il prend un ton enjoué :
- Bonjour, docteur, c’est encore moi !

Le psychanalyste l’écoute, l’interroge, prend des notes. A la fin de la séance il prend les cent euros, puis, en souriant, lui dit :
- Rien de nouveau, suivez mes conseils de la dernière fois.