C'est un pépé à l’hôpital qui se fait surprendre par l’infirmière alors qu'il est en train de se tripoter sous les draps. L’infirmière s'écrie :
- Attendez, je vais vous aider !
Et là, elle commence à l’entreprendre et lui fait une super gâterie. Le vieux n'en revient pas, mais, enchanté, lui demande :
- Mais pourquoi j'ai droit à cela ? C’est Noël ?
- Vous savez, avec le boulot qu'on a ici, j'ai plus vite fait de me rincer la bouche que de changer les draps !
Un senior, pas vraiment en pleine forme, faisait de la musculation selon ses capacités dans une salle de gym quand il remarqua une jeune femme très jolie. Il demanda au moniteur le plus proche :
- Quelle machine vous me conseillez d' utiliser pour impressionner cette charmante petite chose là-bas ?
Le moniteur le toisa de haut en bas et lui répondit :
- Vous devriez essayer le distributeur de billets dans le hall d'entrée...
Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan
Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.
Comme tous les après-midi, les deux pépés Michel et Fernand, sont assis sur un banc dans le parc. Michel dit alors :
- J'ai une folle envie de glace
- Je vais en chercher deux , que veux-tu ? répond Fernand
- Chocolat et pistache, et toi ?
- Moi, je prendrai vanille fraise.
Michel qui connait bien son ami lui dit sur un ton prévenant :
- Il vaudrais mieux que tu le notes.
- Mais non, le camion de glaces est juste là, devant !
- Note-le, je te dis que tu vas oublier.
- Non, non, je n'oublierai rien !
Fernand part en grommelant "Chocolat pistache, vanille fraise... Chocolat pist…" Après un bon quart d'heure Fernand revient avec deux saucisses et deux cornets de frites bien dorées !
Michel lui dit
- Et où est la moutarde ?
- Bon sang, je l'ai oubliée !
- Tu vois, répond Michel, je te l'avais bien dit de le noter !
A l'hôpital, un vieux monsieur couché dans son lit s'époumone à qui mieux-mieux :
- Le révolver ! ... le bazooka ! ... le canon !... la grenade ! ...
L'infirmière entre précipitamment dans la chambre et l'enguirlande :
- Non, mais ça ne va pas de crier de la sorte ? ! ? ... Mais, c'est quoi cette odeur d'urine ?
Elle soulève les draps et s'aperçoit qu'ils sont complètement mouillés :
- C'est dégoûtant ! Vous auriez dû demander le pistolet...
- Voilà, c'est le mot que je cherchais !
Pendant la guerre, un allemand rentre en enfonçant la porte d'une maison, se précipite sauvagement dans la pièce, casse tout, et aperçoit, dans le grenier, une adolescente, très belle, et sa grand mère apeurées. Alors il se rue sur la jeune fille, et abuse d'elle violemment. Puis, il se dirige vers la porte pour sortir.
Alors, la grand-mère en criant :
- Eh ! Pas si vite !! C'est la guerre pour tout le monde, non ?