Dans le train, le contrôleur dit à une vieille dame :
- Votre billet est pour Lille. Or ce train va à Strasbourg.
- C’est ennuyeux, grommelle la voyageuse. Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme ça ?
Sur la route des vacances, un couple de personnes âgées s'arrête à une station-service au bord de la nationale. Le pompiste arrive et demande :
- Bonjour. Je vous fais le plein ?
- Oui allez-y, répond le vieux monsieur
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste demande :
- Alors, vous allez où comme ça ?
- On va passer les vacances à Sainte-Maxime, dans la villa de notre fille, répond le vieux.
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT OÙ ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À SAINTE-MAXIME.
Le pompiste :
- Vous avez de la chance. Vous allez avoir un grand soleil pour les 2 semaines qui arrivent.
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS.
Le pompiste :
- Et où habitez vous quand vous n'êtes pas en vacances ?
- On habite La-Ferté-sur-Orge, répond le vieux.
- Ah ouais ?! J'ai connu une fille de La-Ferté-sur-Orge un jour. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, ce n'était pas une affaire !
La vieille :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y TE CONNAIS BIEN !
Un paysan s'arrête au garage du coin pour faire réparer sa fourgonnette. Le garagiste ne peut pas le faire immédiatement et doit garder la fourgonnette pour l'après-midi. Le paysan se dit alors qu'il n'habite pas loin et qu'il va rentrer à pied.Sur le chemin du retour, il s'arrête dans une boutique où il achète un seau et une boîte de 10 litres de peinture. Puis il s'arrête dans une autre boutique et prend deux canards et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu'à la maison ? Pendant qu'il se gratte la tête, une petite vieille s'approche de lui et lui dit qu'elle est perdue. Elle lui demande :
- Pouvez-vous me dire comment me rendre au 58 Chemin des Figuiers ?
Le paysan lui dit :
- Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n'arrive pas à porter tout ceci.
La vieille dame suggère :
- Pourquoi ne mettez-vous pas la boîte de peinture dans le seau. Portez le seau d'une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l'oie dans l'autre main ?
- Merci bien, dit-il, et il se mit en route accompagnant la vieille dame.
En cours de route, il dit :
- Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement et dit :
- Je suis une veuve sans personne pour me défendre... Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n'allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
Le paysan dit :
- Cré vin di diou, ma petite dame, je porte un seau, une boîte de 10 litres de peinture, deux canards et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
La vieille dame répondit :
- Posez l'oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la boîte de peinture sur le seau, et je tiendrai les canards...
Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan
Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.
C'est l'histoire d'un vieux monsieur qui est atteint de la maladie d'Alzheimer. Son fils qui l'aime beaucoup, mais qui n'en voit plus le bout décide avec l'accord du père de le placer dans une maison de retraite médicalisée. Le jour de la séparation arrive. Le fils et son vieux se retrouvent dans le bureau de direction en compagnie de la directrice et d'une infirmière. Pendant que le fils signe les papiers, le vieux se penche tout doucement sur son côté vers la droite. L'infirmière bondit et vient arrêter le mouvement in extremis.
Quelques minutes plus tard, le vieux recommence à pencher, cette fois-ci vers la gauche. Encore une fois, l'infirmière bondit et parvient à arrêter la bascule du vieux dans sa course. Quelques temps plus tard, le corps du vieux se met à pencher en avant. Cette fois-ci, l'infirmière l'attache carrément à sa chaise.
À ce moment, le fils a fini de remplir les papiers. Il se lève et demande à son père :
- Alors papa, tu vas te plaire ici ?
Et le vieux répond:
- Ouais, je pense. Mais à mon avis, ils me laisseront jamais péter tranquillement !
Qu'est-ce qui est invisible et qui sent le Canigou ?
- Un pet de vieux