Blague : Il vous faudra du courage


Une femme très gravement malade vient d’être opérée.

Le chirurgien va voir son mari et lui dit :
- Vous allez devoir faire preuve de courage…

Le mari lui répond alors :
- Pourquoi ? Ne me dîtes pas que vous l’avez sauvée !?

D'autres blagues pour la catégorie Humour noir

Divorce absurde - Humour noir - 27/01/2014

Après un grave accident de voiture, un homme va donner son sang à sa femme pour lui sauver la vie. Quelques mois plus tard, alors que la femme s'est rétablie, le couple divorce. La rupture est difficile, ils commencent à se déchirer mutuellement pour le partage de leurs biens. Chaque bien fait l'objet fait l'objet d'un affrontement violent et acharné.

L'homme dit à son ex-femme :
- Au fait, c0nna..., je veux également récupérer mon sang.
La femme devient hystérique, elle soulève sa jupe, lui jette son tampax à la gueule et hurle comme une dingue :
- Tiens du c0n... voilà un acompte. Je te rembourserai le reste tous les mois...

Première loge - Humour noir - 20/02/2013

Un enterrement c'est le contraire d'un concert : si t'es dans la fosse, t'en profites moins.


Les hommes, c'est comme de l'essence :

- Des pieds à la ceinture, c'est du super

- De la ceinture aux épaules, c'est de l'ordinaire

- Et des épaules à la tête, c'est du sans plomb

Un jour, les parents d'une petite fille aveugle disent à leurs fille :

- Nous avons trouver le remède miracle. C'est de la pommade que tu t'appliques sur les yeux avant de dormir et le lendemain matin tu verras le monde.

Le lendemain matin, la petite se lève en pleure. Elle est toujours aveugle. Là, ses parents lui disent en cœur:
- Poisson D'avril.

Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit. Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris. Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant après le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher.

Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadrage de porte regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait cru déjà rendu au ciel. Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.

Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table, se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.

Soudainement, il reçut de sa femme un coup de spatule sur la tête :
- Touche pas ! dit-elle, c'est pour l'enterrement...