Un motard dur-à-cuire se promène sur sa Harley lorsqu'il a aperçoit une fille qui s'apprête à sauter en bas d'un pont.
Il s'arrête et lui demande :
- Qu'est-ce que tu fais ?
Elle lui répond :
- Je vais me suicider !
Alors qu'il ne veut pas paraître insensible, il ne veut pas non plus passer à côté d'une bonne affaire. Il dit alors :
- Avant de sauter, pourquoi ne m'embrasserais-tu pas ?
Elle l'embrasse alors avec volupté. Après cette embrassade, le motard lui dit :
- Woauw ! C'est la première fois qu'on m'embrasse de cette façon. C'est tout un talent que tu t'apprêtes à gaspiller. Tu pourrais devenir célèbre. Mais pourquoi veux-tu te suicider ?
- Parce que mes parents n'aiment pas que je m'habille en fille !!!
Un monsieur trouve un perroquet dans la rue. Il va voir un agent de police qui lui conseille de l’emmener au zoo. Le lendemain, l’agent les voit revenir ensemble :
- Je vous avais dit de l’emmener au zoo !
- Oui, il a bien aimé, mais aujourd’hui on va au cinéma.
Ce qui est fabuleux, à la télévision, c'est qu'avec les talk-shows, on reste des heures à écouter des gens raconter leurs inepties, alors que si on avait les mêmes, en face de soi, dans son salon, on ne les supporterait pas trente secondes.
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Hier Dédé a trouvé une combine pour économiser l’énergie : avec sa caméra il a filmé une ampoule allumée, pendant 4 heures, après il éteint la lumière et il repasse la vidéo de l’ampoule allumée sur la télé.
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La semaine dernière, Dédé est monté à Paris pour aller au Salon de l’Agriculture. Il a trouvé une machine qui peut faire la moitié de son travail. Du coup, il en a acheté deux.
C'est l'histoire d'un vieux fermier avec sa vache, qui font du stop au bord de la nationale. Un homme s'arrête et le paysan monte dans la voiture. Le conducteur lui demande :
- Et votre vache ?
- Ne vous inquiétez pas, on va l'accrocher derrière ; elle a l'habitude de suivre.
La voiture démarre, le trajet commence tranquillement. A 40 km/h , la vache suit en trottinant. Le conducteur accélère alors un peu jusqu'à 60 km/h. La vache suit toujours. A 80 km/h, la vache est toujours là sans problème apparent. Le conducteur commence à s'énerver, et accélère encore. Le petit jeu se poursuit jusqu'aux limites de sa voiture. À 160 km/h , le conducteur regarde dans son rétroviseur puis, triomphant, s'adresse au paysan :
- Elle fatigue, votre vache ; elle tire la langue.
- De quel côté ?
- Euh ? A gauche.
- Alors, c'est qu'elle veut doubler !
Deux adolescents se font prendre par la gendarmerie pour avoir fumé de l'herbe. Au moment de leur passage au tribunal, le juge, magnanime, leur dit :
- J'aimerais vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Avant la fin de cette semaine, vous devez rencontrer et convaincre le plus grand nombre de personnes intoxiquées. Je vous reverrai ici-même mardi pour faire le bilan.
Mardi arrive et nos deux p'tits mecs sont de retour devant le juge :
- Alors, quels résultats avez-vous obtenu ?
Le premier garçon se lève et annonce fièrement :
- Votre honneur, j'ai réussi à convaincre 19 personnes d'arrêter totalement la drogue.
- Dix-neuf personnes ? C'est très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
- Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J'ai dessiné deux cercles : un grand et un petit. Puis je leur ai dit : Ceci (le grand cercle) c'est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c'est votre cerveau après la drogue.
- Excellente démonstration ! Et vous (au deuxième garçon), votre bilan ?
- Votre honneur, j'ai persuadé 158 personnes d'abandonner la drogue à tout jamais.
- Cent cinquante-huit personnes ! C'est exceptionnel ! Par quel moyen avez-vous pu arriver à un tel réultat ?
- Eh bien j'ai utilisé la même approche en plus simple. Je leur ai dit (pointant le petit cercle): ça, c'est votre tr0u du cuI avant la prison...
A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !