Par un beau dimanche après-midi, un pêcheur taquine tranquillement le brochet sur un petit affluent de la Loire. Un promeneur s’approche :
- Bonjour Monsieur. Dites-moi, vous n’auriez pas vu ma femme? C’est une jeune femme blonde et elle est vêtue d’une robe bleue.
Le pêcheur répond :
- Oui en effet, elle est passée, il y a un quart d’heure environ.
- Bien j’ai intérêt à me dépêcher si je souhaite la rejoindre avant qu’il ne fasse nuit.
- Bah ? ne vous inquiétez pas ! Avec le peu de courant qu’il y a par ici, vous l’aurez rattrapée d’ici 10 minutes en marchant normalement.
Dans la rue, un homme demande à une vieille dame :
- Vous n’auriez pas vu un policier ?
- Non.
- Alors donnez-moi votre sac à main !
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Une maman téléphone au médecin :
- Docteur, mon fils vient d’avaler une pièce de deux euros !
- Ce n’est pas grave, madame !
- Pas grave, pas grave… vous en avez de bonnes vous ! Et comment je vais acheter le pain maintenant ?
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- Maman, maman, je ne veux plus dormir avec mon petit frère.
- Tais-toi ! Je t’ai déjà dit qu’on avait pas assez d’argent pour l’enterrer !
L'histoire se passe dans un centre des impôts, au ministère des finances. C'est un jour de réception du public et l'on fait la queue devant le guichet. Arrive le tour d'un monsieur qui demande à parler au contrôleur Paul. La fonctionnaire de l'autre côté du guichet lui dit qu'elle est vraiment désolée, mais que ce ne sera pas possible car ce contrôleur est décédé inopinément fin de la semaine précédente.
Le monsieur s'en va, se remet à la fin de la file et se représente quelques minutes plus tard devant le même guichet :
- Bonjour, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, dit la dame, je vous ai dit qu'il était décédé fin de la semaine passée.
Avant qu'elle ait pu lui proposer quelqu'un d'autre, le contribuable va se replacer à la fin de la file. A son tour, il se représente une troisième fois devant la même personne :
- Bonjour, dit-il, très poli, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, je vous ai déjà dit deux fois qu'il était décédé! Vous ne me comprenez pas ?
- Si très bien, mais cela me fait tellement plaisir de vous l'entendre dire !
Étapes de la vie d'un homme :
- A 2 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte
- A 3 ans, le succès est d'avoir des dents
- A 12 ans, le succès est d'avoir des amis
- A 18 ans, le succès est d'avoir son permis de conduire
- A 20 ans, le succès est de bien faire l'amour
- A 35 ans, le succès est d'avoir de l'argent
- A 50 ans, le succès est d'avoir de l'argent
- A 60 ans, le succès est de bien faire l'amour
- A 70 ans, le succès est d'avoir un permis de conduire
- A 80 ans, le succès est d'avoir des dents
- A 85 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte.
Deux petites vieilles se croisent dans la rue principale du village.
- Comment vas-tu Ginette ?
- Oh ! J'ai pas le moral... Je viens de perdre mon mari !
- Ah bon ! Qu'est-ce qu'il s' est passé ?
- Je l' ai envoyé dans le jardin chercher des courgettes et des navets pour faire la soupe. Il a été pris d' un malaise. J' ai appelé les pompiers. Quand ils sont arrivés, il était déjà mort d'une crise cardiaque...
- Qu'est-ce que tu as fait alors ?
- Des pâtes à la carbo !
Un couple de clochards partagent leur sac de couchage. Alors qu'ils sont installés l'un à côté de l'autre, Raymond dit à Giselle, en roucoulant et en se frottant contre elle :
- Chérie, j'ai envie.
- Non ! Tu ne t'es pas lavé depuis deux semaines, tu pues, pas question !
- Allez, sois gentille, je te fais tout ce que tu veux !
- Tout ce que je veux ? Dans ce cas c'est d'accord, tu me lèches !
- Ah non ! Tu ne t'es pas lavée depuis un mois !
- Chose vomie, chose bue, tu me lèches !
Et Giselle s'installe alors sur Raymond, qui commence à la lécher. Quelques pertes jaunes, et vertes plus tard, Raymond demande grâce :
- Ça suffit, je n'en peux plus ! On arrête !
- Non, continue, c'est bon !
Quelques morpions, des dizaines de poils et quelques pertes rouges et blanches plus tard, Raymond est au bord de l'apoplexie :
- Stop, j'étouffe !
- Non, continue, je viens, c'est bon !
Et en jouissant, elle lâche une énorme flatulence. Et Raymond en prenant une grande respiration :
- Ouf ! De l'air !