Par un beau dimanche après-midi, un pêcheur taquine tranquillement le brochet sur un petit affluent de la Loire. Un promeneur s’approche :
- Bonjour Monsieur. Dites-moi, vous n’auriez pas vu ma femme? C’est une jeune femme blonde et elle est vêtue d’une robe bleue.
Le pêcheur répond :
- Oui en effet, elle est passée, il y a un quart d’heure environ.
- Bien j’ai intérêt à me dépêcher si je souhaite la rejoindre avant qu’il ne fasse nuit.
- Bah ? ne vous inquiétez pas ! Avec le peu de courant qu’il y a par ici, vous l’aurez rattrapée d’ici 10 minutes en marchant normalement.
Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit. Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris. Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant après le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher.
Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadrage de porte regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait cru déjà rendu au ciel. Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.
Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table, se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.
Soudainement, il reçut de sa femme un coup de spatule sur la tête :
- Touche pas ! dit-elle, c'est pour l'enterrement...
Aux assises, c'est l'heure du réquisitoire. La parole est au procureur qui s'adresse aux jurés :
- Messieurs les jurés, l'homme que vous voyez assis dans le box à tué son père et sa mère. Je demande une peine exemplaire !
Puis c'est au tour de l'avocat de la défense de s'exprimer :
- Messieurs les jurés, je réclame votre indulgence : n'oubliez pas que mon client est orphelin...
--
C'est l'histoire d'un type qui vient de passer des examens de santé à l'hôpital. Le médecin annonce au patient qu'il est gravement malade et qu'il va mourir. Le gars demande ce qu'il peut faire pour le guérir. Le médecin lui répond :
- Vous n'avez qu'à faire des bains de boue.
- Pourquoi ça va me guérir ?
- Non, mais ça vous habitueras à la terre.
--
A table, un garçon interpelle sa mère :
- Maman, maman, je n'aime pas grand-mère !
La mère :
- C'est pas grave, laisse-là sur le bord de ton assiette et finit ta purée.
Deux petites vieilles se croisent dans la rue principale du village.
- Comment vas-tu Ginette ?
- Oh ! J'ai pas le moral... Je viens de perdre mon mari !
- Ah bon ! Qu'est-ce qu'il s' est passé ?
- Je l' ai envoyé dans le jardin chercher des courgettes et des navets pour faire la soupe. Il a été pris d' un malaise. J' ai appelé les pompiers. Quand ils sont arrivés, il était déjà mort d'une crise cardiaque...
- Qu'est-ce que tu as fait alors ?
- Des pâtes à la carbo !
L'histoire se déroule dans un cimetière, la famille, les proches et les collègues du défunt sont tous attroupés autour du cercueil. Au moment de l'inhumation d'un célèbre cardiologue, de nombreux confrères sont présents. Pour la circonstance (vu qu'il est cardiologue), l'entrée du caveau a été ornée d'un énorme cœur de deux mètres de haut, fait avec des fleurs, et le cercueil est placé devant. Après le sermon et les adieux, le gigantesque cœur s'entrouvre, le cercueil est placé à l'intérieur et le cœur se referme. Tout le monde est silencieux, triste mais ébloui par cette démonstration très significative !
Soudain, un homme éclate de rire. Un moment de gêne s'installe avec les personnes en pleur autour de lui. Tous les regards noirs se dirigent vers lui. On entend bien les sanglots l'assistance. Son voisin le réprimande d'un air sévère :
- Chut ! Mais qu'est-ce qui vous prend de rire comme ça ?
L'homme qui peine à contenir son fou rire lui répond :
- Je pense à mes obsèques : je suis gynécologue !!!!
Deux petites vieilles se croisent à l'église et commencent à discuter :
- Comment vas-tu Raymonde ?
- Oh ! J'ai pas le moral... Je viens de perdre mon mari !
- Ah bon ! Qu'est-ce qui s'est passé ?
- Je l' ai envoyé dans le jardin chercher des carottes et des poireaux pour faire la soupe. Il a été pris d'un malaise. J' ai appelé les secours, quand ils sont arrivés, il était déjà mort. Une crise cardiaque...
- Qu'est-ce que tu as fait alors ?
- Des pâtes... !