Blague : La pêche au brochet dans la Loire


Par un beau dimanche après-midi, un pêcheur taquine tranquillement le brochet sur un petit affluent de la Loire. Un promeneur s’approche :
- Bonjour Monsieur. Dites-moi, vous n’auriez pas vu ma femme? C’est une jeune femme blonde et elle est vêtue d’une robe bleue.

Le pêcheur répond :
- Oui en effet, elle est passée, il y a un quart d’heure environ.
- Bien j’ai intérêt à me dépêcher si je souhaite la rejoindre avant qu’il ne fasse nuit.
- Bah ? ne vous inquiétez pas ! Avec le peu de courant qu’il y a par ici, vous l’aurez rattrapée d’ici 10 minutes en marchant normalement.

D'autres blagues pour la catégorie Humour noir

Étapes de la vie d'un homme :

- A 2 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte

- A 3 ans, le succès est d'avoir des dents

- A 12 ans, le succès est d'avoir des amis

- A 18 ans, le succès est d'avoir son permis de conduire

- A 20 ans, le succès est de bien faire l'amour

- A 35 ans, le succès est d'avoir de l'argent

- A 50 ans, le succès est d'avoir de l'argent

- A 60 ans, le succès est de bien faire l'amour

- A 70 ans, le succès est d'avoir un permis de conduire

- A 80 ans, le succès est d'avoir des dents

- A 85 ans, le succès est de ne pas faire dans sa culotte.

Pourquoi Dieu a créé les femmes belles et stupides ?

Belles pour que les hommes puissent les aimer et stupides pour qu'elle puissent aimer les hommes.


Un homme style élégant et BDSB (bien dans ses baskets) sort d'un supermarché poussant un caddie rempli ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre, champagne, foie gras, saumon, etc ...En s'approchant du coffre de son magnifique 4X4, il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d'herbes poussés à travers le béton du parking :

Le riche : Excusez-moi, Monsieur, mais que faites-vous ?
Le pauvre : Je ramasse de l'herbe, c'est pour la manger, j'en ramène aussi à la maison, on n'a plus rien!
Le riche : Ah bon !!!! Si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse, venez plutôt manger à la maison !
Le pauvre : C'est gentil, M'sieur, mais j'ai une femme et huit mômes, et je, enfin...
Le riche : Mais, c'est évident, venez avec votre famille !
Le pauvre : Oh alors, ça, c'est gentil ! Mais c'est que les grands y sont déjà mariés, pi z'ont aussi des petits !!!
Le riche : Allons, mon ami, je vous en prie, venez tous !
Le pauvre : Z' êtes sur, parce qu'y a aussi mes sœurs et mes beaux frères, on est nombreux ...
Le riche : Je vous le dis, j'insiste, ça me fait plaisir, venez tous, autour de chez moi, l'herbe est haute comme ça, si vous êtes nombreux en trois heures c'est fait !!

Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit. Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris. Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant après le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher.

Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadrage de porte regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait cru déjà rendu au ciel. Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.

Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table, se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.

Soudainement, il reçut de sa femme un coup de spatule sur la tête :
- Touche pas ! dit-elle, c'est pour l'enterrement...

Monsieur le comte vient de mourir. Et comme il tenait à ce que personne ne le voie sans sa moumoute qu’il n’enlevait que la nuit, on le couche dans le cercueil avec la perruque sur la tête.

Mais dans cette position elle glisse, impossible de la faire tenir droite.

Après de multiples tentatives, la veuve se désespère. Alors le croque-mort lui dit :
- Ne vous inquiétez pas, je vais vous arranger ça !

Un quart d’heure plus tard, il vient la prévenir que c’est fait : la moumoute reste parfaitement droite.
- Oh, merci, merci ! Combien vous dois-je ? dit la comtesse.
- Rien du tout ! Pour un malheureux clou…