C'est une infirmière dans une maison de retraite. Une nuit, elle remarque qu'un de ses pensionnaires mâle sort de la chambre d'une des pensionnaires. Elle s'approche alors de lui et lui dit:
- Que faisiez-vous ici en pleine nuit ?
Le vieux monsieur répond:
- Ah... vous savez ce que c'est. Je suis vieux, j'ai besoin d'être soulagé de temps en temps ! Et Mme Martin est très efficace pour ça !
L'infirmière lui répond alors:
- Vous savez bien que nous sommes aussi formées pour cela. ce n'est pas la peine d'aller embêter les pensionnaires la nuit.
Alors le vieux monsieur:
- Ah oui, peut-être, mais Mme Martin, elle a la maladie de Parkinson.
Un couple de personnes âgées avait fêté son soixantième anniversaire de mariage. Ils s'étaient connus amis d’enfance et venaient se promener main dans la main dans le quartier de leur jeunesse; ils voulaient revoir leur ancienne école. La grille n'était pas fermée, ils sont entrés et ont retrouvé le vieux pupitre qu'ils avaient partagé, sur lequel René avait gravé : « Je t'aime, Thérèse. »
En revenant à la maison, un sac tomba d’un fourgon blindé presque à leurs pieds. Thérèse le ramassa et l’emporta à la maison. Là, elle l'ouvrit et compta... Il y avait cinquante mille euros dans le sac !
René déclara :
- Nous devons le rendre.
- Qui trouve garde, lui répondit Thérèse. Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier.
Le lendemain, deux policiers vinrent enquêter dans le quartier. Ils frappèrent à leur porte. Un policier se mit à questionner le couple sur la disparition d'un sac de billets :
- Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui est tombé d'un fourgon blindé hier ?
- Non, rétorqua sèchement Thérèse.
- Elle ment. Elle l’a caché dans le grenier, la coupa René.
- Ne le croyez pas, il est sénile, continua Thérèse.
Les agents se sont alors tournés vers René et lui ont demandé :
- Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le début.
- Bien ! poursuivit René, Thérèse et moi revenions de l’école, hier, quand...
Le premier agent se tourna vers son collègue et lui dit :
- Viens on s'en va !
Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…
Dans le train, le contrôleur dit à une vieille dame :
- Votre billet est pour Lille. Or ce train va à Strasbourg.
- C’est ennuyeux, grommelle la voyageuse. Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme ça ?
Douze prêtres étaient sur le point d'être ordonnés. Leur ultime épreuve était de s'aligner entièrement dénudés dans le jardin du couvent tandis qu'une belle fille très jolies, danserait complètement dévêtue devant chacun d'eux.
Chaque futur prêtre avait une clochette fixée à son s... et il était prévu que... quiconque ferait tinter sa clochette pendant qu'elle dansait ne serait pas ordonné parce qu'il n'avait pas atteint un état de pureté spirituelle.
La fille commença à danser devant le premier candidat. Aucune réaction.
Elle procéda ainsi le long de la rangée des candidats prêtres avec la même absence totale de réaction de tous jusqu'au dernier : Yves Pauvre Yves, alors que la fille s'avançait vers lui en dansant, sa cloche sonna si fort qu'elle s'envola dans le jardin et atterrit loin devant lui.
Confus et honteux, Yves s'avança rapidement vers la clochette et se baissa pour la récupérer. C'est à ce moment que toutes les autres clochettes se mirent à carillonner...
C'est un homme sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet. Sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième qui est tout maigrichon et laid comme un cafard.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !
Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhht. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !
Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme, soulagée de ne pas avoir menti à un mourant, murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...