Une petite fille demande à son grand-père :
- Papy, pourquoi t'as trois paires de lunettes ?
- Ben la première, c'est pour voir de près, et la deuxième c'est pour voir de loin.
- Oui, mais la troisième ?
- Ah ben, celle-là, c'est pour chercher les deux autres.
C'est une infirmière dans une maison de retraite. Une nuit, elle remarque qu'un de ses pensionnaires mâle sort de la chambre d'une des pensionnaires. Elle s'approche alors de lui et lui dit:
- Que faisiez-vous ici en pleine nuit ?
Le vieux monsieur répond:
- Ah... vous savez ce que c'est. Je suis vieux, j'ai besoin d'être soulagé de temps en temps ! Et Mme Martin est très efficace pour ça !
L'infirmière lui répond alors:
- Vous savez bien que nous sommes aussi formées pour cela. ce n'est pas la peine d'aller embêter les pensionnaires la nuit.
Alors le vieux monsieur:
- Ah oui, peut-être, mais Mme Martin, elle a la maladie de Parkinson.
C'est l'histoire d'une dame très âgée vivant a la campagne qui est sur son lit gravement malade. Le papy attend dans le sejour que le médecin lui donne la signification de la maladie de son épouse. Le médecin sort après de très longues minutes et lui dit :
- Votre femme est presque dans un état comateux !
Le papy qui n'a pas bien compris, rentre dans la chambre de sa femme. La mamie lui demande d'une voix faible :
- Qu'ek ksi ti qui l' a dit l'docteur a mon sujet ?
- Oh ché pas trop...Il a dit k'tes dans un état comme ma queue... répond le papy
La mamie:
- Non di diou, non di diou !!! Ben ch'ui pas prête d'me lever alors !!!
Un paysan et son jeune fils visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu’ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s’ouvrir en deux et se refermer.
Le petit garçon demanda :
- C’est quoi, Père ?
Le père qui n'avait jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c’est.
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration. Une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu’aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s’ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu’à ce que les chiffres se mettent à défiler dans l’ordre inverse. Les murs s’ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 25 ans sortit. Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !
Comme tous les après-midi, les deux pépés Michel et Fernand, sont assis sur un banc dans le parc. Michel dit alors :
- J'ai une folle envie de glace
- Je vais en chercher deux , que veux-tu ? répond Fernand
- Chocolat et pistache, et toi ?
- Moi, je prendrai vanille fraise.
Michel qui connait bien son ami lui dit sur un ton prévenant :
- Il vaudrais mieux que tu le notes.
- Mais non, le camion de glaces est juste là, devant !
- Note-le, je te dis que tu vas oublier.
- Non, non, je n'oublierai rien !
Fernand part en grommelant "Chocolat pistache, vanille fraise... Chocolat pist…" Après un bon quart d'heure Fernand revient avec deux saucisses et deux cornets de frites bien dorées !
Michel lui dit
- Et où est la moutarde ?
- Bon sang, je l'ai oubliée !
- Tu vois, répond Michel, je te l'avais bien dit de le noter !
Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…