Le grand-père de 95 ans vient de décéder. Le petit-fils va présenter ses condoléances à sa grand-mère de 90 ans et trouve la mamie en larmes. Il la prend dans ses bras et la console. Un moment plus tard, la voyant plus calme, le petit-fils en profite et lui demande :
- Mamie, comment est mort papi ?...
- C'est arrivé en faisant l'amour, lui confesse la grand-mère.
Le jeune garçon lui répond que les personnes de 90 ans ou plus ne devraient pas faire l'amour car c'est très dangereux. Mais la grand-mère lui explique:
- Nous le faisions seulement le dimanche, depuis 5 ans, très calmement, au rythme des cloches de l'église, "ding"pour la mettre, "dong" pour la sortir...
- Et que s'est-il passé, mamie ? demande le petit-fils.
- Ho, mon garçon !!! Le marchand de glaces est passé avec sa clochette !
Notre kiné qui êtes osseux,
Que nos articulations soient certifiées,
Que notre squelette tienne,
Que nos os emboités soient fermes
Sur la terre comme ossuaire.
Donnez-nous aujourd’hui nos massages quotidiens.
Pardonnez nous nos exigences
Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont chiropractés.
Ne nous laissez pas succomber à la décalcification,
Mais délivrez-nous du mal de dos,
Maintenant et Alzheimer de notre mort.
Abdomen.
Une dame âgée était appuyée sur la rampe d' un bateau de croisière tenant fermement son chapeau pour qu' il ne s' envole pas dans le vent. Un jeune homme l' approcha et lui dit :
- Pardonnez-moi Madame, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais saviez-vous que votre robe se soulève avec ce grand vent ?
- Oui, je sais, répondit la dame, mais j' ai besoin de mes deux mains pour tenir mon chapeau !
- Mais Madame, vous ne portez pas de culotte et vos parties intimes sont exposées à la vue de tous !
La femme regarda son interlocuteur de haut en bas et répondit :
- Cher jeune homme, ce que vous voyez plus bas date de 75 ans ... et ce chapeau est neuf d' hier !
Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan
Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.
Sur la route des vacances, un couple de personnes âgées s'arrête à une station-service au bord de la nationale. Le pompiste arrive et demande :
- Bonjour. Je vous fais le plein ?
- Oui allez-y, répond le vieux monsieur
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste demande :
- Alors, vous allez où comme ça ?
- On va passer les vacances à Sainte-Maxime, dans la villa de notre fille, répond le vieux.
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT OÙ ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À SAINTE-MAXIME.
Le pompiste :
- Vous avez de la chance. Vous allez avoir un grand soleil pour les 2 semaines qui arrivent.
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS.
Le pompiste :
- Et où habitez vous quand vous n'êtes pas en vacances ?
- On habite La-Ferté-sur-Orge, répond le vieux.
- Ah ouais ?! J'ai connu une fille de La-Ferté-sur-Orge un jour. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, ce n'était pas une affaire !
La vieille :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y TE CONNAIS BIEN !
On interviewait récemment un couple à la télé qui fêtait ses 50 ans de mariage. Après la foule de questions habituelles on demanda au mari si dans ces cinquante années d'union il avait quelquefois songé au divorce... Il répondit très fort:
- Non.
Mais il ajouta rapidement:
- Le divorce, jamais, mais le meurtre, plusieurs fois...