C'est une conversation entre une maîtresse d'école et son élève.
L'enfant :
- Madame, madame, est-ce que je peux être puni pour quelque chose que je n'ai pas fait ?
La maîtresse :
- Mais bien sur que non, on ne va pas te punir pour quelque chose que tu n'as pas fait.
L'enfant :
- Eh bien, ça va alors... je n'ai pas fait mes devoirs hier !
C'est une petite fille qui va voir son père et lui demande :
- Papa qu'est ce qu'on devient quand on est mort?
Son père lui répond :
- Bin de la poussière.
Ensuite la petite dit :
- Papa je pense qu'il y a un mort en dessous de mon lit.
Un jeune ingénieur fraichement diplômé se retrouve dans le train assis à côté d'une petite fille. L'ingénieur dit à la petite fille :
- Il paraît que les voyages passent beaucoup plus vite si on parle avec quelqu'un.
La petite fille le regarde et dit :
- D' accord, de quoi voulez vous qu'on parle?
L'homme fanfaronne :
- Et si on parlait de physique nucléaire ?
La petite fille lui répond :
- D'accord, mais avant, écoutez-moi bien. Un chevreuil, une vache et un cheval mangent tous de l'herbe. Pourtant le chevreuil fait de petites crottes, la vache fait des bouses plates et le cheval de grosses boules. Comment expliquez-vous cela ?
L'ingénieur pantois, réfléchit un instant puis doit avouer :
- Ma foi, je ne saurais l'expliquer.
Alors, maline, la petite fille lui dit:
- Comment voulez-vous que je vous explique la physique nucléaire si vous ne maîtrisez même pas un petit problème de merde ?
Un petit garçon de six ans demande :
- Maman, comment je suis né ???
- Euh …. dans un chou . Ton père et moi, nous t'avons trouvé dans un chou…
- Et ma sœur, comment elle est née, elle ?
- Dans une rose . Nous l'avons trouvée dans une magnifique rose…
Le soir, le petit garçon, entrant sans frapper dans la chambre de ses parents les trouve en train de faire l'amour et il leur lance :
- Alors les vieux... on jardine !
Pauline va voir sa maman et demande :
- Est-ce que je pourrais avoir du chocolat ?
- On dit comment ? S’il… s’il ?
- S’il en reste encore ?
C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ... Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
- Elles sont à l'envers, maîtresse.
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
- C'est pas mes bottes.
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
- Bon, allez, on les enlève.
Et elle se met à nouveau au boulot. Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
- C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre.
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
- Où sont tes gants?
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
- Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes.