Blague : Bonnes soeurs noires et naines


Les 7 nains qui vont voir le Pape :
- Nous avons trois questions à vous poser, mais on préférerait que ce soit Simplet qui les pose.
- Aucun problème, répond le Pape, je t’écoute Simplet.
- Votre Sainteté, est-ce qu’au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs ?
- Oui Simplet, au pôle Nord il y a des bonnes sœurs.
- Est-ce qu’au pôle Nord, il y a des bonnes sœurs noires ?
- Oui Simplet, au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires.
- Votre Sainteté, est-ce qu’au pôle nord il y a des bonnes sœurs noires et naines ?
- Ah non simplet, il n’y a pas de bonnes sœurs noires et naines.

A ce moment-là , les 6 autres nains crient en chœur :
- Simplet y s’est fait un pingouin ! Simplet y s’est fait un pingouin !

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Jean et Paul, deux chrétiens, se perdent dans le désert, marchent pendant des heures et s'épuisent de soif et de fatigue. Alors qu’ils étaient sur le point de perdre complètement espoir et s'abandonner à leur sort, ils aperçoivent le minaret d'une petite mosquée...

Ils accourent vers la mosquée, quand Jean dit à Paul : Ce sont des musulmans, je vais leur dire que je m'appelle Mohamed, alors ils vont bien s'occuper de moi. Mais Paul n'est pas d'accord : Non, moi je dirai la vérité.

L'imam de la mosquée les voit et s'approche d'eux : Bienvenus à mes frères. Que puis-je pour vous ?

Jean : S'il vous plait, aidez-nous. Nous avons soif et faim, ça fait longtemps qu’on marche dans le désert. Jean hésite un peu mais il continue : Je m'appelle Mohamed, et il pince son ami Paul.

Paul : Moi, je m'appelle Paul, en jetant un regard coléreux à Jean.

L'imam : Entrez, entrez et mettez-vous à l'ombre. Puis il s’absente un moment et revient avec un plateau de dattes fraîches, de l'eau, du lait et du pain :

- Voilà pour Paul, quant à toi Mohamed, apparemment la chaleur t’as fait oublié que c'est le mois de Ramadan. Alors un peu de patience, il ne reste que quelques heures avant le coucher de soleil !!

- Ma parole, Joseph, je t’assure, le noir, ce n’est pas une couleur !
- Sur ma vie, Simon, le noir, c’est une couleur !
- Non ! Non ! Non ! Joseph, ce n’est pas possible, le noir, c’est noir, ce n’est pas une couleur !
- Aïe, aïe, Dove, mais tu veux ma mort ou quoi ? Puisque je te le dis que le noir c’est une couleur !
- Écoute, Dove, on va voir le Rabbin, lui, il saura.

Et les deux amis vont voir le Rabbin.

- Rabbi, Rabbi ! Dis-lui, à Dove, que le noir c’est une couleur !
- Ma parole ! hurle le Rabbin, taisez-vous ! Bien sûr que le noir, c’est une couleur !
- Le noir ... Une couleur ?
- Eh oui ! Le noir, c’est une couleur !

Joseph et Dove repartent.

- Tu vois Dove, le noir, c’est une couleur !
 - Eh oui ! D’accord, le noir c’est une couleur, mais le blanc, là, c’est sûr, ce n’est pas une couleur !
- Aïe, aïe, Dove! Mais bien sûr que si, le blanc c’est une couleur !
- Ah non, sur ma mère ! Le blanc, ce n’est pas une couleur, c’est blanc !
- Viens, Dove, on retourne voir le Rabbin.

- Rabbi, Rabbi ! Dis-le à Simon, que le blanc c’est une couleur !
- Ma parole, mes enfants ! Le blanc..., le blanc..., eh oui, le blanc c’est une couleur !

Joseph et Simon repartent.

- Bon, Joseph, tu avais raison, le blanc, c’est une couleur !
- Alors tu vois, Dove, que la télé noir et blanc que je t’ai vendue, c’est bien une télé couleur !


A la porte du Ciel, un type furieux se présente devant Saint-Pierre.
- Mais bon sang, qu'est-ce que je fais là ! hurle t-il.
- Regardez-moi : j'ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel ! C'est certainement une erreur !
- Eh bien ! ça n'est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier, répond Saint-Pierre, troublé.
- Comment vous appelez-vous ?
- Roces. Robert Roces.
- Oui... Et quel est votre métier ?
- Garagiste.
- Oui... Ah, voilà, j'ai votre fiche. Roces Robert, garagiste... Eh bien, monsieur Roces, vous êtes mort de vieillesse, c'est tout...
- De vieillesse ? Mais enfin ce n'est pas possible, je n'ai que 35 ans.....
- Ah moi je ne sais pas, monsieur Roces. Mais on a fait le compte de toutes les heures de main d'œuvre que vous avez facturées, et ça donne 108 ans !

Il était temps pour le vieux Père Yves de prendre son bain du samedi soir et la jeune Sœur Anne avait préparé l'eau du bain, les serviettes et  le reste du nécessaire de toilette en suivant exactement les instructions données par la vieille Sœur Rosalie. Sœur Rosalie avait également dit à Sœur Anne de ne pas regarder la nudité du Père Yves et de faire tout ce qu'il lui demanderait en priant.

Le matin suivant, Sœur Rosalie demande à Sœur Anne comment le bain de la veille s'était déroulé.
- Oh, ma Sœur ! Répond Sœur Anne les yeux rêveurs j'ai été sauvée!
- Sauvée ? Et comment ce beau miracle s'est-il produit ? demanda la vieille sœur incrédule, qui savait que le vieux Père Yves avait plus d'un tour dans son sac.
- Eh bien, lorsque le Père Yves était dans son bain, il m'a demandé de le laver et pendant que je le lavais, il a guidé ma main entre ses jambes, à l'endroit où le Seigneur garde la Clé du Paradis. C'est ce qu'il m'a dit!
- Ah bon! Il a fait ça... Répliqua la vieille sœur, le regard froid et direct.

Sœur Anne continua :
- Oui, et le Père Yves m'a dit que si la Clé du Paradis fonctionnait avec ma serrure, les portes des Cieux seraient ouvertes pour moi et je serais assurée d'être sauvée; j'aurais ainsi la paix éternelle. Ensuite le Père Yves a guidé sa Clé du Paradis dans ma serrure.
- Ah oui? dit la vieille sœur encore plus froidement.
- Au début, c'était très douloureux, mais le Père Yves a dit que le chemin de la rédemption était souvent rempli de douleur, mais que la Gloire de Dieu remplirait bientôt mon cœur avec extase. Et c'est arrivé ! C'était si bon d'être sauvée !

La vieille sœur fut choquée et s'exclama :
- Le vieil escroc ! Il m'avait dit que c'était la Trompette de l'Ange Gabriel et ça fait 40 ans qu'il me fait souffler dedans !

A Dallas dans le Texas, un pauvre gars qui a été amené inconscient aux urgences de l'hôpital des Sœurs de la Charité Bien Ordonnée sort enfin de la salle d'opération.

La religieuse qui le réveille lui demande:
- Avez-vous une assurance-maladie ?
- Non !
- Avez-vous de l'argent pour payer vos soins ?
- Non !
- Avez-vous de la famille qui pourrait prendre en charge les frais médicaux ?
- Ah ! J'ai juste une sœur qui est au Mexique. C'est une pauvre petite religieuse comme vous...
- Mais, monsieur, aucune religieuse n'est pauvre ! Nous sommes même riches car nous sommes les épouses du Seigneur !

Et le gars lui répond...
- Eh ben... Dans cas-là, vous enverrez la facture à mon beau-frère !!!