Blague : Les 3 vœux du fonctionnaire


Un fonctionnaire qui avait décidé de faire un peu de ménage dans les armoires de son bureau, trouve, caché sous une pile de cartons empoussiérés, ce qui ressemble fort à une lampe à huile en métal doré.

Trouvant l’objet à son goût, l’employé de l’état décide de le ramener chez lui pour l’exposer sur sa cheminée. Le soir, alors qu’il est en train d’astiquer la lampe, un nuage de fumée envahit la pièce et un génie apparaît :
- Je suis le génie de la lampe, dit l’être extraordinaire, et je peux t’accorder trois vœux.
Étonné et ravi, le fonctionnaire demande tout de suite :
- Je voudrais être beau et musclé comme un top modèle masculin.
Et aussitôt, le génie le transforme en un Georges Clooney rugbyman.

Le fonctionnaire demande ensuite :
- Je veux être envoyé dans une île polynésienne uniquement peuplée d’indigènes nymphomanes !
Et d’un seul coup, le fonctionnaire atterrit sur une plage de sable blanc, au beau milieu d’un lagon, encerclé par des jeunes femmes qui jettent sur lui des yeux remplis de désirs.

Au génie qui l’a accompagné, le fonctionnaire prononce alors son troisième souhait :
- Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler.
Et POUF ! Le fonctionnaire se retrouve assis à son bureau.

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Un vétérinaire qui ne se sent pas bien va chez son médecin. Le médecin lui pose les questions de routine : Où avez-vous mal, depuis quand, où êtes vous allé...

Le vétérinaire l’interrompt :
- Dites donc, faites comme moi, je suis véto, je n’ai pas besoin de demander à mes patients où ils ont mal et depuis quand ?… Je trouve ce qu’ils ont tout seul ! Pourquoi pas vous ?

Alors le médecin ne répond pas. Il poursuit son examen en silence. Quand il a fini, il fait une ordonnance et la remet au vétérinaire en lui disant :
- Voilà, vous suivez le traitement pendant dix jours. Si il n’y a pas d’amélioration, c’est l’abattoir.

Délit d'initié - Travail - 14/04/2013

Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.

Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?

Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !


Un épicier est très radin. Il ne pense qu'à son argent. Un jour, un de ses amis veut lui faire une blague. Il demande donc à une femme d'entrer complètement nue dans le magasin pour voir sa réaction.

La femme entre dans le magasin, prend un article et se dirige vers la caisse. L'épicier la regarde, il la fixe de haut en bas. La femme lui dit alors :
- Qu'est-ce qu'il y a, je te plais c'est ça ?
L'homme se met à rire et lui dit :
- Non, j'essaye juste de trouver d'où vous allez sortir l'argent pour me payer !

Un électricien un coup de main à son apprenti :
- Michel, prends un de ces deux fils, s'il te plaît !
L'apprenti :
- Ça y est, j'en ai un !
L'électricien le questionne alors :
- Tu ne sens rien ?
L'apprenti :
- Non, rien du tout...
Le chef :
- Ok, alors, ça doit être l'autre. Surtout n'y touche pas, il y a du 2.000 volts dessus...

A la clinique privée « La renaissance », un tout jeune chirurgien, fraichement diplômé, vient de terminer sa première intervention.

En sortant du bloc opératoire, il tombe nez à nez avec le Professeur Sanpierro, directeur de la clinique.

Le jeune chirurgien le salue :
– Bonjour, Professeur

Le Professeur lui rend son salut et l'interroge sur ses débuts dans son nouvel emploi :
– Bonjour, jeune homme. Alors, cette première opération, comment s’est-elle déroulée ?

Le jeune chirurgien :
– Comment ça, Professeur ? Quelle opération ? Ce n’était pas une autopsie ?